Keith Parkinson

Qui ne connaît pas Keith Parkinson… Peut-être avez-vous déjà lu Terry Goodking ou encore David Eddings, peut-être aussi êtes-vous un rôliste (il n’y a pas d’anciens rôlistes, rôliste un jour, rôliste toujours) et connaissez-vous TSR et Donjons et Dragons, alors vous connaissez Keith Parkinson. Illustrateur de fantasy, Keith Parkinson s’illustre par un talent dans la peinture. Il illustre des romans, des jeux de rôle et aussi des jeux vidéo. Son travail est magnifique, prolifique. Les personnages sont réalistes, dessinés avec beaucoup d’émotions, les monstres aux formes fantastiques sont empreints d’un sentiment de puissance et les décors révèlent une ambiance parfois sombre ou oppressante, parfois plus légère, mais Keith Parkinson met au centre de son oeuvre l’humain. Le bon comme le mauvais, le fort comme le faible. Ses peintures sont magnifiques, fantastiques, magiques. Un artbook loin de révéler le talent de cet illustrateur.
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Une touche d'originalité chez les éditions Bragelonne ?



Ce joli livre constitué des principales réalisations du décédé et regretté illustrateur Keith Parkinson est un régal pour les yeux, et une petite pause bienvenue dans un univers toujours fantasy, mais où l'on prend le temps de s'intéresser aux dessins, voire de redécouvrir des couvertures de livres déjà lus sous un autre angle.



Le choix du design est particulièrement réussi, la couverture et quatrième de couverture rappelant sans peine la série de l'épée de vérité, dont M. Parkinson a peint la majorité des couvertures, tandis que cette noirceur permet au fil des pages de bien faire ressortir les différents tableaux.



Très chouette livre, qui reste malgré tout cher !

Traduit et édité par les éditions Milady en 2010, l'artbook de Keith Parkinson retransmet bien l'essence du travail de l'artiste. Au fur et à mesure que l'on tourne les pages, ce beau-livre nous fait faire connaissance plus en profondeur avec le cheminement artistique de Keith Parkinson.



La première chose à louer dans cet artbook est l'introduction signée par Terry Goodkind, un grand nom du genre et aussi un proche ami de l'illustrateur. Quoi de plus prestigieux pour promouvoir un livre! Il y confie l'importance pour lui de collaborer avec Keith Parkinson. Partageant la même vision des choses, et particulièrement de l'art, ils ont formé le tandem idéal pour produire d'accrocheuses couvertures de fantasy. Il faut dire que Keith Parkinson a une vraie sensibilité avec une grande capacité pour traduire le cœur d'un roman à travers un seul tableau, sans pour autant le surcharger.



Les premières pages sont consacrées au processus de création de l'artiste. Il nous explique les différentes étapes qu'il suit en fonction de ce qu'on lui demande pour aboutir à tel ou tel tableau. Un chapitre qui nous fait tout simplement pénétrer dans son atelier. En fait, il commence par sélectionner le support sur lequel il va œuvrer, puis il passe à la sélection du dessin qui viendra trôner au centre de sa composition finale. Il commence toujours par peindre l'arrière-plan pour terminer par l'intégration de ce qui va venir occuper le devant de la scène. Un long travail minutieux qui demande du temps et de l'inspiration.



Un début de livre qui nous dévoile les esquisses qu'il a réalisées pour telle ou telle couverture. Chaque dessin est annoté de sa main pour aiguillonner le maquettiste lors de l'impression finale. Cela témoigne de l'ampleur de la besogne. Car être un illustrateur professionnel, ce n'est pas seulement se contenter de réaliser un dessin. Une commande, c'est bien souvent plusieurs essais pour plaire au commanditaire et lui donner du choix. C'est un travail exigeant et fort intéressant.







Le reste de l'artbook fait un état des lieux de quelques-unes de ses œuvres. Tout n'y est pas car cela ne tiendrait pas dans un seul livre, mais cela donne une idée générale du style de l'artiste.







Keith Parkinson a pris soin de commenter chacune des illustrations choisies afin de partager ses souvenirs, des détails de réalisation. Il y fait quelques confidences sur les lieux ou les personnes qui l'ont inspirés par exemple. On réalise ainsi que c'est un amoureux de la nature. Ce qui ressort bien dans les couvertures de L’Épée de Vérité, par exemple. Les paysages y sont justes époustouflants... plus d'infos sur Fantasy à la carte


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Toujours très bien mené, ce second récit nous fait parcourir les terres du milieu ( ne pas voir de ressemblance avec un certain hobbit ) pour nous conduire dans l'ancien monde à la suite du héros, Richard. Séparé de celle qu'il aime, ce volume comporte donc beaucoup moins de romance, même si toutes les femmes qu'il croise tombent bizarrement à ses pieds. Sa quête est d'ailleurs parsemée de drôleries et manque parfois de sérieux malgré la gravité de la situation. Quand à sa chère et tendre, ses aventures ne manquent pas de piquants et sont parfois beaucoup plus exaltante que celle de son homme, sans parler de leurs compagnons de route dont certains sont franchement désopilant. Bref, c'est un bon moment de lecture.

Bibliothèque fermée, je plonge dans les rayons abandonnés de mes enfants partis depuis longtemps et je tombe sur les 6 tomes de l'épée de vérité que je ne connaissais pas. Et ben, j'ai laissé mes filles lire ça ! A quel âge ? Parce que c'est vraiment gore et aucun détail des sévices et des souffrances subis par les protagonistes ne nous est épargné. A mon avis c'est à interdire aux moins de 16 ans !

A part ça malgré le caractère un peu convenu de l'héroic-fantasy et des péripéties insupportables pour n'importe qui (mais les héros ne sont pas n'importe qui) cela tient en haleine et fais passer agréablement le temps.

Et le tome IV sur la peste raisonne avec notre époque du confinement du covid 19 toute proportion gardée.

Bref un travail de bon faiseur mais à ne pas mettre entre toutes les mains.

Richard et Khalan ont vaincu Darkhen Rahl. Vont-ils pouvoir se marier ? C’est alors que Richard ressent de puissantes migraines que seul le collier Rada Han peut arrêter. Mais hors de question de porter à nouveau un collier de servitude et de suivre les sœurs de la Lumière. A moins que Khalan ne le lui demande ?

De nouvelles aventures, Richard et Khalan se trouvent séparés mais ils œuvrent tous deux pour un même but : réparer le voile qui sépare le monde des vivants de celui des morts afin d’empêcher le Gardien de les exterminer...

Quel plaisir de retrouver les personnages! Tout en douceur dans ce tome, on nous met de petits rappels du premier tome afin qu’on comprenne bien tous les liens entre les deux tomes!

On y rencontre de nouveaux personnages aussi charismatique les uns que les autres ce qui nous provoquent chez nous des émotions propres pour chacun d’entre eux!

Ce roman est plein de rebondissements, plein d’aventures, plein d’intrigues!

Je suis prête pour le tome 3!

J'ai attendu plus d'un an pour découvrir la suite de La première leçon du sorcier, deuxième tome de la célèbre saga L'Épée de vérité de Terry Goodkind. J'avais beaucoup aimé le premier tome, mon avis est un peu plus mitigé concernant la suite des aventures de Richard le Sourcier.



Pourquoi un avis plus mitigé ? À cause de Richard pour commencer, que je trouve rageant et puéril. À cause de sa relation avec Kahlan ensuite, que je trouve niaise à souhait. À cause des nombreuses similitudes avec mes grandes sagas favorites, comme par exemple les Sœurs de la Lumière / Sœurs de l'ombre, qui sont une bien pâle copie des Aes Sedai de Robert Jordan (ça m'a d'ailleurs donné envie de me replonger dans La Roue du temps...). Voilà pourquoi.



Mais malgré ces petits désagréments, j'ai rapidement été entraînée par le récit. J'ai adoré les tactiques militaires de Kahlan, astucieuses, dangereuses et culottées, nous offrant ainsi une bataille haletante et mémorable contre l'Ordre Impérial. J'ai adoré découvrir les différents peuples que Richard rencontre au long de son périple, et son apprentissage de cette magie particulière endormie au fond de lui. J'ai adoré suivre Zedd et Adie dans la quête qui va les priver de tout ce qu'ils sont. Et j'ai retrouvé ce qui m'avait tant plu au premier abord, à savoir une aventure pleine de rebondissements, d'action, de magie, une écriture prenante et accrocheuse, du divertissement à chaque page...



Alors oui il y a des points négatifs, mais j'ai quand même passé un très bon moment de lecture, et c'est ce qui compte, non ?



A bientôt pour le troisième tome, donc.

J'avais déjà apprécié la lecture du premier tome et ce tome L'épée de Vérité: La pierre des larmes a confirmé ce sentiment.

Dans ce tome, on suit de nouveau nos personnages Richard, Zedd et Kahlan. Après leur victoire sur Darken Rahl ils leur semblaient que tout était terminé. Cependant, la pierre des larmes qui emprisonne le Gardien a traversé et déchiré le voile séparant le monde des vivants du royaume des morts. De nouvelles créatures (du royaume des morts) pénètrent donc dans le monde des vivants.

Il va donc falloir que Richard, Zedd et Kahlan trouvent comment refermé ce voile. De son côté Richard s'avère être un sorcier en plus d'un sourcier et doit donc recevoir une formation au plus vite avant que son don ne le tue. Il va effectuer celle-ci auprès des Soeurs de la Lumière fidèles au Créateurs dans l'Ancien Monde.

Je ne vais pas tout résumé, le livre étant encore une fois déjà assez long mais dans ce tome on continue de découvrir l'étendue de l'univers créé par l'auteur ainsi que les créatures et les êtres qui y résident.

J'ai de nouveau, complètement, été absorbé par l'histoire. Elle reste palpitant et comprend son lot de trahisons et rebondissements. Enfin bref, j'ai hâte de lire le prochain tome en espérant qu'il continue sur la même lignée.

Ça part dans tous les sens !



Autant, j’ai bien aimé le tome 1, et bien là je n’ai pas aimé. On ne sais plus qui fait quoi, qui devient quoi.



Tout en lisant ce livre, cela me faisait penser au manga des années 90 où les héros n’avaient pas de temps de souffler entre deux catastrophes mais en sortaient toujours triomphants.



J’apprécie toujours le style moderne de l’auteur, mais l’histoire n’est vraiment pas terrible.



je ne vais pas m’étendre sur ce livre et espérer que le tome 3 sera meilleur.
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Le récit devient plus épique et c'est à mon sens le meilleur de la série. La lecture de ce livre et des suivants m'a transporté. J'adore les personnages, leurs sentiments, les péripéties du récit. Richard vous transporte avec lui dans ces aventures, et nous tient en haleine... On reste cependant sur un roman de Fantasy plus que classique mais l'univers se complexifie avec ce deuxième tome.

Bon. On va dire que comme pour le premier tome, je suis plus que mitigée à la fin de cette lecture.



Déjà, je trouve que les idées de l’auteur sont bonnes. Richard et Kahlan sont la véritable force de ce libre et ont tous de héros : courage, loyauté, force et sagesse.



Mais, en détail, le scénario est décevant. Déjà, les 150 voire 200 premières pages sont ennuyantes, c’est longuet. En fait, on a juste des personnages qui disent plein de prophéties et on a juste envie que des événements se passent ! Et puis ça a enfin démarré, plein de trucs se passent. Mais justement, je trouve que certaines péripéties sont inutiles à la finalité de l’histoire (à savoir réparer le voile), et du coup, bah le récit redevient long. J’aurais bien enlevé 100-150 pages. Je pense que certains événements seront utiles au tome 3 (que je viens de commencer) mais elles sont dans le tome 2 inutiles.



Et du coup, j’avais l’espoir que réparer le voile demande l’effort de plusieurs tomes. Eh bien non. Les événements s’enchaînent dans les 100 dernières pages, Richard réparer tout. Je suis pas sûre que ça me plaise.



Après l’auteur nous surprend en nous proposant un scénario hors des sentiers battus, mais, arrivera-il à inventer beaucoup d’événements pendant les 12 tomes restants ?



Je vais lire le tome 3, mais je suis de plus en plus septique.


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Plus on avance dans l'histoire et plus on aime, je ne quitterai plus Richard le sourcier et Kahlan la mère inquisitrice jusqu'à la fin de cette saga !!

Pendant environ toute la première moitié de ce tome, j'ai eu peur de retomber dans les même schémas que le premier, avec en plus certaines longueurs...

Et finalement, non.

Toute la seconde moitié est géniale, et même bourrée d'humour.

Une très bonne suite.

Salut les Babelionautes

J'ai mis un temps fou à terminer ce deuxième tome de "l’Épée de Vérité" et la plume de Terry Goodkind ne donne pas envie de continuer.

Mais je vais quand même le faire, qui a pensé que je suis maso??

Donc nous avons un couple ayant des pouvoirs magiques mais qui se fourrent dans les pires calamités en tachant de bien faire.

Heureusement pour moi, certains passages méritent le détour, tel celui du combat mené par Kahlan, nue sur son destrier, avec des centaines de jeunots aux prises avec leur libido.

Sinon c'est des poncifs de la Fantasy que beaucoup d'Auteurs ont employés et emploieront encore, Terry Goodkind ne sort pas du lot.

La seule chose que j'ai apprécié c'est la Dragonne et le Garn, deux animaux qui auront un rôle crucial dans le récit.

Normalement on apprend de ses erreurs, hors cela n'est pas le cas de Richard, il fait chaque fois confiance aux mauvaises personnes.

Bref !! Je vais continué, histoire de donné une chance à cette Saga, portée aux nues par certain et vouée aux enfers par d'autres.

Au moins toute l'oeuvre n'a eu qu'un seul Traducteur, merci à Jean Claude Mallé pour son excellent travail.

J’étais heureuse de retrouver tous nos personnages ainsi que la plume de l’auteur. C’est tellement fluide et agréable à lire. La première moitié du livre est celle dont je me souviens le moins, elle est éclipsée par la seconde qui est très riche en péripéties. En fait, il se passe tellement et tellement de choses que j’ai du mal à tout remettre en place. J’avais naturellement fait un graphique pour le tome 1 parce que le récit était organisé en étapes très distinctes mais pas là. Il y a quand même des similitudes entre ces deux premiers tomes.



Premièrement, on a une fois de plus le droit à une incise des héros chez le peuple d’Adobe, et, encore une fois, j’ai trouvé que cette partie tournait au ralenti. Le rythme est lent, on s’ennuie pas mais on souhaite tout de même passer à la suite. Ça reste un passage important car il est le point de départ des quêtes individuelles de nos héros. En effet, Zedd, Kahlan et Richard poursuivent l’aventure chacun dans leurs coins dans ce deuxième tome et j’ai beaucoup aimé ce choix car d’abord, ça permettait de suivre plusieurs fils narratifs tout aussi intéressants les uns que les autres et également de faire évoluer le personnage de Richard en particulier. Richard est un héros en construction, son personnage est encore un peu maladroit mais globalement, je l’ai vraiment apprécié. J’avoue qu’il nous saoule un peu avec son désespoir et son cœur brisé par Kahlan alors qu’il n’avait qu’à connecter quelques neurones pour comprendre qu’elle avait fait ça pour son bien et justement parce qu’elle l’aime. Ça ne gêne toutefois pas la poursuite de sa quête vers le Palais des Prophètes et c’est une manière aussi pour l’auteur de marquer la réticence et la colère de Richard contre les Sœurs de la Lumière.



Si je devais quand même ne retenir qu’un fil de l’histoire, ce serait celui de Kahlan. Ça, c’est de la fantasy comme on aime ! J’ai adoré suivre son périple avec Chandalen et les deux frères. Puis on arrive au chapitre 44 et là on est sur du grandiose. Des 2500 pages que j’ai englouties jusqu’à présent, je tiens mon passage préféré : la bataille des Galeiens contre l’armée de l’Ordre Impérial. Un seul mot : ÉPIQUE. Je suis obligée de mettre un extrait :



La suite sur mon blog 🌈
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Ce tome ci reprend l'histoire de la saison 2 de la série malgré quelques différences des personnages n'existent pas dans les livres mais dans la série.

Cette série est un classique de la fantasy malgré qu'elle soit très longue et elle est très sympathique.

Le problème de cette série c'est que les tomes sont un peu trop à commencer si l'auteur lancer son intrigue plus rapidement à chaque tome on serait plus dans l'histoire car vu le nombre de pages il faut s’entêter au début des livres à le continuer pour être vraiment dans l'action.

C'est ce qui m'est arrivé dans ce tome passé ce stade j'étais vraiment dedans après cette saga reste pour des lecteurs habitués à la fantasy et aux gros lecteurs car ça peut faire peur aux autres vu les 835 pages du tome et encore je crois que ce n'est pas le tome le plus long.

Après j'adore l'univers très riche de cette saga et on a une dose d'humeur très bien dosé avec Zedd que j'adore et Kahlan qui est une femme très forte et intelligente.

Et Richard qui est plus vulnérable dans ce tome que dans le premier est comprend mieux les incidences de ces choix sur son avenir.

Et aussi le peuple d'adobe et chandalen particulièrement sont des nouveaux personnages qui sont touchant et dont on s'attache beaucoup tout au long du tome.

En d'autres termes j'aime beaucoup cette saga malgré ses lourdeurs et j'ai mis longtemps avant de la commencer mais je ne le regrette pas car elle mérite vraiment le détour.

C'est tellement long, tellement chiant, tellement mal écrit... J'admire ceux qui ont continué malgré leur lecture mitigée ou négative, mais déjà que j'ai trouvé le premier très mauvais, moi, je n'insiste pas ! Il y a tellement de meilleurs bouquins à lire encore !

Si La Première Leçon du Sorcier était un tome incroyable, La Pierre des Larmes le surpasse largement ! Un roman sombre, rempli de souffrances, de guerre, de scènes de viol et bien sûr de rebondissements.



Le lecteur se sent happé par cette histoire des plus originales et se dépêche de lire les quelques 1200 pages pour savoir comment les héros pourront se sortir des griffes de Terry Goodkind. L’auteur enchaîne les situations effroyables ne laissant aucun répit à ses protagonistes.



Un roman aussi sombre qu'addictif, j'adore !
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J’ai un avis mitigé pour ce tome. Il y a eu des moments très intéressants, forts en émotion et avec beaucoup d’action et de rebondissements. Malheureusement, il y a eu aussi des moments longs, ennuyant et fastidieux à lire. Où il ne se passait pas grand-chose.

Richard est toujours aussi courageux mais il est parfois un peu agaçant. Il est un peu dépressif, il se laisse aller dans des pensées très sombres. Du coup, il n’est plus tout le temps réaliste et il a du mal à prendre ses décisions. Malgré tout, il reste un personnage très intéressant à suivre. Il est très humain, altruiste.

Kahlan est beaucoup plus forte dans ce tome. Elle est très courageuse et se montre très directive. On sent toute la puissance de décision et de direction d’une Mère inquisitrice. On a des moments riches en rebondissements, avec beaucoup d’action et parfois beaucoup d’émotions. De la tristesse, de la colère et du soulagement. On passe par une belle panoplie. J’ai presque préféré ces aventures que celles de Richard.

Je lirais la suite mais je vais laisser passer un petit moment entre les deux tomes. L’histoire reste quand même assez bien dans la mémoire donc je pense que je peux me le permettre.