Maud connaissait le propriétaire du Mail, Lord Northcliffe. Comme tous les magnats de la presse, il croyait aux imbécilités qu'il publiait. Il savait comme peu d'autres donner aux préjugés les plus stupides et les plus ignorants de ses lecteurs une forme apparemment censée, qui permettait de faire passer l'ignoble pour le respectable - la raison pour laquelle on achetait son journal.