De fait, Roshi est bien élevée, et humble aussi.
Non sans une pointe de culpabilité, il songe à ses propres fils Zabi et Lemar, là-bas à San Jose, qui ne se cachent pas depuis longtemps de détester leurs prénoms afghans et qui se comportent de plus en plus comme des petits tyrans, à l'image de ces enfants américains autoritaires que Nahil et lui s'étaient juré de ne jamais avoir.