[D]e nos jours la mort est partout, même là où elle ne devrait pas être, comme l’enfance, qu’il a toujours envisagée comme un lieu, l’adolescence ou la jeunesse, ou parfois la vieillesse, et il n’y a aucune issue car la mort ne connaît ni jour ni nuit, ni espace ni temps ; elle est comme un cheval ivre qui vient de rompre ses attaches.