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Critiques de Kieron Dwyer (5)
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Remains, Tome 1 : Roulette, zombies et cano..

Il aura suffit d'une couverture pour me convaincre de me lancer dans ce comics, et le résultat est celui-ci : un vrai coup de foudre !



Alors qu'une conférence mondiale historique a réuni une bonne partie des chefs politiques ainsi que des scientifiques du monde entier et qu'un désarmement nucléaire a été voté, certains pays ont décidé d'organiser des cérémonies officielles encadrant la destruction des têtes nucléaires mortelles. Au Etats-Unis, dans l'état du Névada pendant qu'une grande cérémonie réunissant plusieurs milliers de personnes se déroulait, un incident s'est malheureusement produit et a transformé tout le monde en zombies, pas seulement les invités mais aussi le monde entier. Les deux rescapés connus vont se retrouver seuls au monde, coincé dans un hôtel où ils vont devoir redoubler d'astuces pour ne pas servir de repas.



L'ambiance dans laquelle se déroule l'histoire est vraiment unique et géniale, Tom et Tori savent que leurs vies sont en danger mais ce n'est pas grave ils n'hésitent pas une seconde à se lancer des piques et à se pourrir la vie mutuellement alors que logiquement tout est assez pourri comme ça autour d'eux mais non il faut en rajouter une couche, au final on s'attache rapidement à eux, personnellement ils m'ont bien fait marrer, ils mènent la danse comme des chefs.



Au-delà des personnages qui représentent un gros point positif, il y'a aussi les planches qui sont divines



Le coup de crayon est précis, les détails sont là, ça donne froid dans le dos lorsque l'on tombe sur certaines scènes tellement elles sont réalistes, un vrai travail de maître que je salue tellement je les adore.



La suite de l'histoire est vraiment dingue et sort de tout ce qu'on a déjà vu à propos des zombies. Dans cette BD les zombies évoluent, commencent à parler et croyez-moi que ça vaut me détour. Un premier tome qui envoi du lourd, et qui pour moi est tout simplement parfait, je n'ai rien à reprocher, si ce n'est qu'il est trop court mais forcément quand on aime c'est toujours trop court, alors vivement de pouvoir remettre ça, pour connaitre la suite de ces personnages complètement décalés et suivre l'évolution de ces zombies d'un autre genre !


Lien : http://promenonsnousdanslesl..
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Remains, Tome 1 : Roulette, zombies et cano..

Remains fait partie de ces nouveaux comics qui traitent de l'invasion zombie à travers le monde. Vous l'aurez compris, cela surfe sur un phénomène de mode qui a été initié par le réalisateur de film horrifique George A. Romero dont il est rendu en l'espèce hommage. Je dois avouer que si les films d'horreur n'étaient point ma tasse de thé durant mon adolescence, j'apprécie désormais ce genre qui me fait frissonner en bd. Il m'aura fallu plus de temps, voilà tout.



Le début commence de manière un peu spéciale. Alors que toutes les forces armées de la terre ont décidé d'abandonner leurs ogives nucléaires, c'est de cet acte de pacifisme que va naître la menace zombie. A croire qu'il valait mieux ne pas renoncer au nucléaire ! Quel comble !



Le couple de survivants qui constitue la pierre angulaire de cette histoire est intéressant à suivre car tout semble les séparer. On a droit à un traitement un peu inhabituel qui forcément va marquer les esprits. En tout cas, la fin semble surprenante. On a envie de continuer l'aventure mais il y a le mot "fin" suivi de "enfin peut-être"... A quand la suite alors ?
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Fear Agent, Tome 4 : Entreprise de démolition

Ce tome fait suite à Le dernier adieu (épisodes 12 à 15) qu'il faut avoir lu avant. Il faut avoir commencé cette série avec le premier tome Re-ignition pour pouvoir comprendre l'intrigue. Il contient les épisodes 17 à 21, initialement parus en 2007/2008, écrits par Rick Remender et mis en couleurs par Michelle Madsen. Jerome Opeña a dessiné et encré les épisodes 17 à 19 ; il a réalisé les finitions et l'encrage des épisodes 20 & 21. Ces derniers ont été dessinés par Kieron Dwyer.



L'heure est grave : l'humanité est au bord de la disparition. Les quelques survivants décident d'une stratégie sous la houlette de la présidente Charlotte Huston. Heath Huston prend la tête d'une équipe réduite à bord de son vaisseau spatial pour aller chercher de la nourriture sur une planète proche. Il est accompagné par Keith, le beau Fear Agent, nouvelle génération, qui plaît beaucoup à Charlotte Huston, l'ex-femme d'Heath. Arrivés sur place, la flore leur réserve quelques surprises, et les habitants aussi. Qu'à cela ne tienne, Heath Huston n'a rien perdu de ses capacités à foncer dans le tas, à prendre des risques insensés, à se battre contre tout le monde, et même à sauver les individus en danger, quand bien même il s'agit de celui qui l'a supplanté dans le cœur de sa femme.



L'autre vaisseau spatial part pour la planète Neavsivia qui constitue peut-être un environnement habitable pour ce qu'il reste de l'humanité. À bord de ce vaisseau se trouvent la présidente Charlotte Huston, et également Mara Epernoza. Alors qu'ils atteignent l'orbite de Neavsivia, le vaisseau est intercepté par les pirates de la Nébuleuse du Centaure, menés par un certain Levi Diablo. Mara Epernoza semble connaître cet individu.



Après un tome consacré aux origines d'Heath Huston, à sa relation avec sa femme et à l'historique de l'invasion de la Terre, Rick Remender revient au temps présent et à son intrigue principale. Ça ne rate pas : dès le premier épisode, le lecteur retrouve la forme de science-fiction un peu datée des épisodes précédents. À ce titre le premier épisode de ce recueil est un festival à lui tout seul. Les personnages arrivent sur une planète dont l'atmosphère est immédiatement compatible avec la physiologie humaine : quel coup de chance incroyable ! Keith succombe tout de suite à l'effet soporifique d'une plante (à nouveau cette compatibilité entre les composantes de la plante et la physiologie humaine). Cette perte de connaissance laisse le champ libre à Heath Huston pour jouer le héros, car il se fait attaquer par un extraterrestre (humanoïde bien sûr) 2 pages plus loin. Coup de chance : une sixième sens avertit de l'attaque de la plante et il échappe à son gaz soporifique.



En fait le lecteur ne s'offusque pas de ces coïncidences bien pratiques, ou de cette science-fiction d'aventure, il s'en régale. D'une part c'est cohérent avec le ton du récit depuis le premier épisode, donc ce n'est en rien une surprise. D'autre part, Rick Remender maîtrise les conventions des récits de type pulp et il s'en sert avec un art consommé. Impossible de résister à l'inconscience d'Heath Huston qui saute sur le dos d'un gros poisson volant, impossible de ne pas admirer sa bravoure, et ses prouesses physiques, impossible de ne pas s'inquiéter quand ces acrobaties se déroulent au-dessus d'une rivière de lave. À ce compte-là, le combat dans l'arène est non seulement logique, mais il aurait même manqué s'il n'y en avait pas eu.



Les 5 épisodes ne sont pas qu'une longue suite de péripéties à l'ancienne. Le scénariste sait aussi piocher dans des conventions moins usées, comme ce peuple sur la planète Neavsivia dont certains habitants se retrouvent coincés dans un mouvement perpétuel de nature spirituelle. Rick Remender continue également d'utiliser les conventions de la comédie dramatique (à la limite de la comédie de situation). Le lecteur apprend par exemple l'existence d'une fille cachée (Eden), et les conflits affectifs demeurent entre l'ex-mari et celui qui l'a remplacé, ou entre le même ex-mari et sa nouvelle conquête. Là encore, le scénariste dépasse les clichés et continue de s'intéresser à la psychologie de ses personnages. Celle d'Heath Huston a été bien établie de catastrophes en ratages de proportion titanesque. Il tourne son attention vers Mara Epernoza (qui ne méritait peut-être pas tant de sadisme). Elle aussi a subi des pertes personnelles traumatisantes (à découvrir dans ce volume), elle aussi a répondu à la douleur, en se fixant comme objectif d'infliger une douleur équivalente à ceux qui l'ont offensée.



Dans la plus pure tradition des récits EC Comics (avec chute morale à la fin), les actions d'Heath Huston et de Mara Epernoza ont des conséquences, et elles sont funestes comme le lecteur a déjà pu l'observer précédemment. Sous des apparences de récit d'aventure à l'ancienne, avec un bel homme blanc imposant sa volonté par la force à des races extraterrestres répugnantes, Rick Remender montre des individus détruits par les conséquences de leurs actes, obsédés par leurs erreurs ou par leur vengeance, incapables de retrouver quelque plaisir de vivre que ce soit. Non seulement la vengeance ne constitue pas une motivation qui rend heureux, mais en plus chaque acte dicté par la haine engendre une situation pire encore. Pour autant le récit ne sombre pas dans la sinistrose. Remender ne fait pas mystère de la dimension parodique de son récit. Il sait que le lecteur le sait, ce qui lui donne la latitude d'en jouer. Ainsi il peut se permettre de forcer un peu la dose sur l'action, sur les dangers ou même sur la mort des personnages, car il a déjà été établi précédemment que Heath Huston se sort de toutes les situations (même la mort) et que ce qui est montré (un personnage de premier plan transpercé par un rayon laser) l'est pour le côté choc et dérivatif de ce type de séquence (tout en sachant que la mort reste relative dans le récit, et ne peut être qualifiée de sûre que si le corps a été incinéré, les cendres dissoutes dans de l'acide, et les résidus plongés au cœur d'un trou noir, et encore).



En découvrant la table des matières, le lecteur éprouve une petite inquiétude. Il retrouve bien l'assurance que tous les épisodes ont été écrits par Rick Remender, que les couvertures sont réalisées par Jerome Opeña (sauf la dernière exécutée par Tony Moore). Par contre, Jerome Opeña n'a dessiné que 3 épisodes sur 5. Les couvertures sont parfaites, plaçant Heath Huston dans une situation de danger, frappée du coin du cliché, avec une exagération à peine perceptible qui atteste de l'intention parodique, à la saveur délicieuse faisant apparaître un sourire sur le visage du lecteur. Opeña est déchaîné pour le premier épisode. Il donne à voir les péripéties imaginées par Remender avec un premier degré irrésistible. Il s'approprie les conventions visuelles établies dans les EC Comics, tout en y intégrant des éléments plus modernes, à commencer par la morgue d'Heath Huston.



Les acrobaties à dos de poissons volants sont à couper le souffle. Le lecteur peut sentir les poils d'Huston commencer à roussir sous l'action de la chaleur de la lave. La tension du public est palpable alors que Huston et Keith s'apprêtent à livrer un combat à mort dans l'arène. Le crash du vaisseau sur la planète Neasivia emporte tout sur son passage. Les habitants de cette planète sont macabres à souhait. Opeña assure le spectacle au premier degré, avec de rares touches discrètes laissant la liberté au lecteur de s'amuser de ces actions spectaculaires, de ces clichés. La mise en couleurs de Michelle Madsen habille ces cases de manière à augmenter les effets de volume, à faire irradier la chaleur de la lave, à rendre compte de l'impression de couleur végétale, ou de l'éclat métallique des coursives. Elle n'abuse pas de la palette infographique et se limite à de discrets dégradés, de telle sorte à ne pas supplanter les traits de contour.



En passant aux épisodes 20 & 21, le lecteur ne ressent pas un brusque hiatus visuel. Jerome Opeña a donc réalisé les finitions, c'est-à-dire préciser les dessins et les encrer. Les personnages conservent donc le même registre d'expressivité, les mêmes traits de visages, les mêmes silhouettes. Éventuellement, le lecteur peut estimer que la mise en scène se fait un peu moins spectaculaire, un peu moins efficace, et qu'elle perd sa sensibilité goguenarde. La gestion des arrière-plans est également un peu moins adroite que celle d'Opeña. Il n'y a qu'un seul défaut de narration : le fait qu'Heath Huston soit éjecté dans l'espace sans son casque à la fin de l'épisode 20 et qu'il le porte au début de l'épisode 21. Pour le reste, l'implication de Kieron Dwyer ne génère pas de solution de continuité visuelle.



Pour pouvoir apprécier ce quatrième tome, le lecteur doit garder à l'esprit la caractéristique de la narration, à savoir sa dimension parodique. S'il ne le fait pas, il éprouve des difficultés à gober tout ce que lui balance Remender, Opeña et Dwyer, en matière de péripéties, de clichés de récits de science-fiction, et de révélations sur la vie des personnages. En ayant à l'esprit que les auteurs forcent la dose sciemment, il apprécie sans honte ces aventures débridées, ces coups de théâtre dignes d'une sitcom, ainsi que le portrait cruel des principaux personnages, de leur détresse existentielle, de leurs erreurs aux conséquences insupportables, de ces pauvres humains souffrant des coups du sort, ballottés par des forces sur lesquelles ils n'ont aucune prise. Il se rend également compte que la situation est complexe et ne peut se réduire à une lutte du bien contre le mal.
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Remains, Tome 1 : Roulette, zombies et cano..

On ne peut visiblement pas tout aimer même si on est fan du thème.







J'ai beau être méga fan des zombies, et avouer moi-même être extrêmement bon public quand il s'agit d'en parler, que ce soit au ciné / tv, en roman, en BD, ici, je n'ai pas adhéré.



Pour une histoire de zombies, ça m'a semblé bien plat et sans intérêt notable, et je n'ai pas du tout accroché au trait de crayon du dessinateur.



J'avoue pourtant que ce dernier a un style qui correspond bien au thème, mais pas du tout à mes goûts en matière esthétique. Personnellement, j'ai trouvé que les dessins étaient vraiment brouillons, car le dessinateur a voulu mettre pas mal de détails avec un coup de crayon assez... je ne sais pas comment dire... peu fin ?



Je ne dis pas du tout que c'est mauvais, attention, au contraire, je suis certaine qu'il trouvera, ou a certainement déjà trouvé son public, qui est certainement majoritairement masculin, je dis juste que c'est quelque chose qui ne me correspond pas, même quand il s'agit de zombies.



Je me suis un peu ennuyée dans l'histoire, je n'ai pas aimé les personnes, ni l'esthétique des planches. Bon ben, c'est un comics, quoi, si ces 3 éléments-là ne vous plaisent pas, rien ne peut rattraper le coup.



J'ai trouvé que l'intrigue était relativement sans saveur, que les personnages étaient vulgaires, grossiers et sans attrait (on a quand même un peu envie de s'attacher aux 2 pauvres survivants encerclés par les zombies), les zombies en eux-mêmes (hormis leur esthétique qui ne me convenait pas) ne sont pas mal fait, mais leur évolution m'a un peu choquée. Ils se mettent à parler, à réfléchir, à être capables de tenir des armes dans les mains (ils vont se transformer en quoi, dans le tome 2 ?? hein ?)



Bref, cette saga n'est pas pour moi, malgré tous mes efforts au cours de la lecture, et malgré mon amour indefectible et déjà fort établi pour le genre.



Bon, bah, on va dire qu'on ne peut pas tout aimer, n'est-ce pas ? ;)







Cali
Lien : http://calidoscope.canalblog..
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Fear Agent, Tome 4 : Entreprise de démolition

Afin d’avoir une chance de sauver la Terre, Heath Hudson et les Fear Agents organisent deux missions parallèles. La première, menée par Charlotte, consiste à trouver un nouveau foyer pour les terriens. Un vaisseau pirate et la soif de vengeance de Mara vont cependant mettre un solide coup de frein à l’objectif initial. La seconde mission conduit Heath Hudson et Keith Mac Arthur sur la planète des Mangeurs, à la recherche du prédateur naturel de cette race qui a envahi la Terre. A l’instar des relations entre ce nouveau duo, l’endroit s’avère extrêmement hostile, réduisant encore un peu plus les chances de survie de l’Humanité …



Après un troisième tome au ton plus sombre, qui revenait sur le passé tragique d’Heath Hudson tout en dévoilant l’origine des Fear Agents, Rick Remender reprend la trame principale de cette aventure spatio-temporelle totalement déjantée, qu’il avait abandonnée sur un cliff-hanger en fin de deuxième volet. Ce retour aux « dossiers en cours » du célèbre mercenaire de l’espace, permet au lecteur de retrouver le côté désinvolte, voire suicidaire, de cet homme qui a tout perdu au détriment d’un cynisme à toute épreuve et d’une haleine qui empeste trop souvent l’alcool. Alignant des répliques percutantes et des citations de Samuel Langhorne Clemens, alias Mark Twain (Les aventures de Tom Sawyer et de Huckleberry Finn), qui font mouche, ce caractère provocateur et grossier a cependant tout pour plaire et insuffle une bonne dose d’humour au récit. Cet anti-héros bourré de défauts embrasse donc à nouveau son destin de sauveur de la planète en affrontant les pires dangers de l’espace au péril de sa vie.



Outre l’univers SF extrêmement riche et un scénario porté sur l’action, digne des meilleures séries B, ce quatrième volet revient également sur le passé de Mara. Par le biais de quelques flashbacks bien placés, l’auteur fait toute la lumière sur les actions de la jeune femme. En soignant également les relations entre Heath, son ex-femme et son successeur, les autres personnages-clés de la série ne sont pas en reste. Ces passages plus psychologiques alimentent d’ailleurs admirablement le côté dramatique de ce space-opera riche en rebondissements. Des labyrinthes souterrains habités par des barbares Kipferi, à une planète peuplée de zombies dévoreurs d’âmes, en passant par des redoutables pirates de l’espace, le scénariste ne recule devant aucun sacrifice pour rendre le quotidien de son baroudeur de l’espace aussi surprenant que captivant.



Au niveau du graphisme, l’alternance entre les deux dessinateurs se poursuit. Comme pour le deuxième tome, Tony Moore (Walking Dead, Les Exterminateurs) repasse donc le témoin à Jerome Opeña et se contente de dessiner les couvertures. Malgré un trait plus fin et légèrement moins caricatural, la transition graphique entre les deux styles est à nouveau impeccable. Notons également la participation de Kieron Dwyer aux dessins des deux derniers épisodes de cet album. Les cadrages cinématographiques et le coup de crayon efficace des dessinateurs dynamisent – si c’était toutefois nécessaire – cette saga, tandis que la présence de nombreuses créatures belliqueuses renforce l’aspect drolatique de ce récit qui n’hésite jamais à jouer la carte de l’autodérision.



Mêlant intrigue galactique, conflits personnels, humour, tension, émotion et aventure, cette véritable bouffée d’air frais au pays des super-héros costumés ravira indéniablement les amateurs de science-fiction.
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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