Tâm peut décrire avec précision la façon dont les soldats glissaient l'as de pique dans la lanière de leur casque, les manches roulées jusqu'en haut des coudes, le bas de pantalon rentré dans les bottes. En revanche, elle ne se souvient du visage d'aucun soldat. Peut-être que les machines de guerre n'ont pas de visage humain.