Ce n’est pas l’Allemagne, c’est l’homme. C’est l’homme qui nous fait mal, toujours, toujours et partout. C’est les lois de la nature, le plus fort, marche ou crève. C’est la nature humaine. La même ailleurs, la même partout, partout ailleurs.
Simplement ici il existait autre chose. Fermé. Poussé à l’extrême. L’humanité poussée à son comble parce que déshumanisée, pas naturelle.
Ce n’est pas l’Allemagne, Uwe. Mais ici, oui, bientôt, ici comme ailleurs.