Ce jour là, les trois coups inscrits dans la mémoire du quartier sont entrés en moi, ont vibré et se sont tus. Le visage du diacre Hovnan, avec sa peau sèche et pâle, ses petits yeux fuyants, ses oreilles décollées et son large front, est devenu un parchemin à déchiffrer. Je sais que là maintenant, je projette sur lui un travail approfondi au long des années, que je mets peut-être à jour des traces qui n'existaient pas, celles que composent mécaniquement, les recherches, les obsessions.