Au fil des années, elle avait rassemblé assez de connaissances sur ce syndrome pour obtenir un doctorat. Elle avait discuté avec des douzaines de conseillers d'orientation, de thérapeutes, de psychologues, de pédiatres, de neurologues,. Elle avait même un jour réussi à assister à une conférence sur le sujet. (…)
Au bout du compte, personne ne lui avait rien dit de très utile, mais elle était devenue la spécialiste mondiale de son frère.