Je préfère cette folle espérance au noir avenir que vous nous promettez. Ainsi, j’ai encore le courage d’aller me battre lorsque revient le printemps. Grâce à elle, je transforme cette exaspérante impuissance qui est la nôtre en une rage féroce qui fait fuir nos ennemis. Face à leur nombre toujours grandissant, je veux crier « Sévenaï ! » en attaquant, et non « Göderin ! ».