Je retins de cet épisode une haine formidable envers les guêpes. Les étés qui suivirent furent très désagréables pour celles qui me tombèrent sous la main : je ne me contentais pas de les tuer, je les torturais avec une joie démoniaque.
C'était le bon temps. Celui où je détestais les guêpes, mais où je n'en avais pas encore peur...
Un vrai bonheur de caporal allemand.