Spinnelli avait posé des micros dans les trois pièces de ce qui était, à ses yeux, un misérable petit appart, avec une télévision de trente-trois centimètres et des piles et des piles et des piles de bouquins. Des étagères pleines de bouquins. Des bouquins ouverts sur la table, et des bouquins près du lit. [...] Spinnelli s'était dit que ce gars ne devait pas avoir de vraie vie, pour être ainsi constamment plongé dans les livres. (page 124)