Peut-être que le côté le plus absurde de la prison était le langage. On y entendait tous les dialectes possibles et tous les outrages inimaginables à la grammaire et à la syntaxe, mais quand il était question de problèmes juridiques ou même concernant le traitement carcéral, des expressions élégantes, irréprochables quant à la forme et au fond, jaillissaient ...