Huma arrête de manger, c'est sa seule arme, et elle est exaltante, cette sensation de maîtrise totale de son corps. C'est comme si on commandait à l'univers. Elle devient presque transparente. (...) Elle se dit que plus elle s'effacera, plus elle commandera à la parole d'advenir. Elle aura enfin des explications. Mais rien ne répond aux blessures. (p. 211)