Grichka aime le silence de sa maison, l'odeur de la cire et des crêpes encore chaudes. Près d'elle, il aime se raconter des histoires comme quand il était petit, des histoires que Babou tricotait avec ses aiguilles le temps d'une rose rouge, d'une fleur de potage. Il aime cette femme qui rit tout le temps avec ses yeux, avec son corps, avec sa robe et ses cheveux. Sûrement, un jour, une joie merveilleuse est entrée en elle et ne l'a jamais quittée.
Elle, Babou sa grand-mère