Valérie Pécresse va se ratatiner comme une vieille patate dans les prochaines semaines parce que son grand écart est une pantomime électoraliste. Le tropisme vers une forme de consensus mou inhérent à la candidate ne va pas tarder à se révéler, on en voit déjà les prémices. Tous les projecteurs sont braqués sur Ciotti : tous ses propos radicaux de campagne, il ne les tient plus désormais que du bout des lèvres, parce qu'il n'y croit plus avec Pécresse. Le LR n'a pas vocation à se rallier au centre qui lui a fait perdre les élections depuis Sarkozy. Les rancoeurs exprimées depuis l'affaire Fillon sont des fissures incolmatables.
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