Il voyageait beaucoup. Il rentrait d'une grande tournée américaine, suivie de deux mois à se balader en Grande-Bretagne. Le groupe n'arrêtait pas de jouer, d'enregistrer. Bus, concerts, hôtels, bus, enregistrements. Une vie de forçats. C'était la vie qu'il voulait, il était heureux. The Clash était sa famille.