J’essaie de me raisonner, de me convaincre que, si je ne fais pas le moindre geste, si je cesse de respirer, si je me fonds dans cette noirceur, on oubliera ma présence et il ne m’arrivera rien. mais il n’y a pas de raison qui tienne. Je ne suis qu’une poupée docile et molle entre les griffes de ma propre terreur.