L’intégration verticale et la consolidation à l’extrémité des chaînes d’exportation, au niveau des acheteurs, tend à renforcer le pouvoir de négociation des grandes entreprises agro-industrielles et des multinationales, leur permettant d’accaparer le pouvoir de décision des agriculteurs·trices et d’accroitre leur capacité à extraire la rente au détriment des petits fournisseurs généralement sous contrat