- Contrôler le savoir, c’est contrôler la populace, éluda Umdenker. Les Escopaliens le savent bien.
(Mais il n’avait manifestement aucune affinité envers cette « populace » qui pataugeait dans l’ignorance. Son mépris était si tangible que même un Chile pouvait le sentir. Umdenker était le rejeton d’un landlord, né puis élevé pour gouverner. Tout son parcours personnel n’avait tendu qu’à cela. Sa soif de connaissances et son goût des techniques n’étaient qu’une manière se s’approprier le monde, de le plier à sa volonté.)