La passivité du citoyen face à un agresseur, et même face à la situation, s'explique par l'effondrement du capital social. Le confort du chez soi attend le fuyard, la consommation et la morale l'aideront à oublier et à justifier son attitude. L'agressé ? Il peut crever, voilà la vérité. Je lutte contre toutes les haines et violences, je suis solidaire et engagé, je suis Charlie, mais si défendre mon voisin de métro risque de m'impliquer, alors il peut crever.