L’emprise médicale et psychiatrique a contrarié la psychanalyse dans l’élan nécessaire pour sa mutation. Face aux questions posées à la sexualité, à la différence sexuelle par les transpédégouines, le discours de certains psychanalystes s’est accroché à la bouée imaginaire de savoirs psychiatriques. Sans bouée, apparaissent-ils comme les militants de la cause trans ?