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Citations de Laurin Wittig (8)


Il arrivait aux enfants de percevoir ce qui échappait aux adultes.
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Les filles raffolent des mots doux et des promesses à n’en plus finir.
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Justement, ce baiser… Il lui suffit d’y penser pour le revivre dans toute son intensité. Et s’en rappeler les conséquences. Un tourbillon de sensations l’avait emportée. Et Symon avait fini par obtenir d’elle ce qu’il voulait. Mais comment avait-il pu prévoir sa réaction ? Peut-être avait-il seulement conçu l’espoir de la troubler par ce doux baiser et la raideur subite de ses membres…
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Les bains détraquent les humeurs, au cas où vous ne le sauriez pas.
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Où avait-elle donc la tête ? S’amuser avec un tel homme ! Ce ne pouvait être que le diable pour la détourner ainsi de ses soucis, la circonvenir par une jolie chambre et un aimable badinage. Son charme ‒ quand il en usait ‒ s’avérait aussi entêtant qu’un vin fin.
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Ce qu’Elena voulait, c’était un endroit où vivre en paix, du moins jusqu’à ce qu’elle décide à quoi consacrer sa vie. Mais ce qu’elle désirait plus que tout, c’était quelqu’un à qui se fier, quelqu’un qui l’estimerait en tant que personne et pas seulement en raison de son pouvoir de guérison.
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Il la sentit peser ‒ oh, pas beaucoup ‒ contre son dos, la chaleur de sa peau se communiquant à la sienne. Au bout de quelques instants, son mal de tête s’apaisa, et les soubresauts de son estomac se calmèrent. Il s’en étonna : la proximité physique de la jeune femme exerçait sur lui une déconcertante influence qu’elle semblait en mesure de contrôler, du moins par moments.
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Le chagrin ne voilait pas son regard, dans lequel ne transparaissait ni regret ni tristesse. Rien n’indiquait en lui la moindre émotion au décès de celui qui l’avait recueilli, qui lui avait donné un toit à l’époque où il menait une vie de chevalier errant. Seules donnaient de l’éclat à ses prunelles sa cupidité ‒ et son ambition.
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