Tchekhov, « la création ex nihilo »
p.81- l’art, la science, l’amour, l’inspiration, les idéals, l’avenir, tous ces mots qui ont servi et servent à l’humanité de consolation et de distraction, il suffit à Tchekhov de les effleurer pour qu’ils se flétrissent et meurent instantanément. Et Tchekhov lui-même pâlissait sous nos yeux, se flétrissait et mourait. »