Une autre fois Paul Arène, ami de jeunesse de mon père, famillier de la maison, mais déchu par l'alcool et l'envie, cette plaie de l'homme de lettres, colporta qu'il était l'auteur véritable des Lettres de mon Moulin, assertion d'autant plus baroque que c'était mon père qui, au contraire l'avait aidé à terminer Jean des Figues, dont le pauvre Arène ne sortait pas.