22. — Les choses étant plus anciennes que les lettres, il n’est pas étonnant que, de nos jours, on ne retrouve pas d’écrits sur les primitives mers qui occupèrent tant de pays, et qu’aucune écriture ne mentionne les guerres, les incendies, les déluges d’eau, le changement des langues et des lois qui ont consumé toute l’antiquité ; mais il nous reste le témoignage des choses de l’eau salée et nous les retrouvons sur les hautes montagnes, bien loin des mers d’alors. (R. 955.)