Nationalité : France
Né(e) à : Metz , 1852
Mort(e) : 1940
Né(e) à : Metz , 1852
Mort(e) : 1940
Biographie :
Léonie Meunier est une romancière.
Elle a été l'épouse de Stanislas Meunier (1843-1925), professeur au Muséum d'Histoire naturelle, géologue et minéralogiste, dont une rue de Paris porte le nom.
Elle est aussi connue sous le noms de Madame Stanislas Meunier, Léonie Stanislas-Meunier, Léonie Levallois et Thérèse Esnée.
Marie Léonie Levallois a publié quantité d’œuvres romanesques et quelques livres de vulgarisation scientifique.
À la fin du siècle, quand le tourisme est largement développé, elle accompagne son mari à un congrès en Arménie qui lui inspire un récit de voyage.
En 1990, elle obtient le Prix Montyon de l’Académie française pour son ouvrage "De Saint-Pétersbourg à l’Ararat" (1899).
Léonie Meunier est une romancière.
Elle a été l'épouse de Stanislas Meunier (1843-1925), professeur au Muséum d'Histoire naturelle, géologue et minéralogiste, dont une rue de Paris porte le nom.
Elle est aussi connue sous le noms de Madame Stanislas Meunier, Léonie Stanislas-Meunier, Léonie Levallois et Thérèse Esnée.
Marie Léonie Levallois a publié quantité d’œuvres romanesques et quelques livres de vulgarisation scientifique.
À la fin du siècle, quand le tourisme est largement développé, elle accompagne son mari à un congrès en Arménie qui lui inspire un récit de voyage.
En 1990, elle obtient le Prix Montyon de l’Académie française pour son ouvrage "De Saint-Pétersbourg à l’Ararat" (1899).
Source : databnf
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Citations et extraits (7)
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Il ne pleuvait plus. On en profita pour herboriser. Les fleurs se montraient par milliers et, sous les taillis, couvraient le sol de la richesse de leurs couleurs. Ici les jacinthes sauvages,— des liliacées,— élevaient, de la touffe de leurs feuilles vernies, leur gracieuse hampe chargée de clochettes bleuâtres; on eut quelque peine à en déterrer l'oignon, et plusieurs plantes furent sacrifiées sans profit. Un peu plus loin des. euphorbes des bois poussaient dru les unes à côté des autres : plantes élégantes du reste, et qu'on aime à voir malgré leur réputation bien méritée de malfaisance.
Poussin travaillait au Luxembourg. Il y introduisit Champaigne. Duchesne, peintre de Marie de Médicis, dirigeait la décoration de ce beau palais italien. Claude Maugis, abbé de Saint-Ambroise, remarqua les tableaux que le jeune Flamand avait exécutés dans la chambre de la reine. Félibien dit que Duchesne se montra jaloux et que Champaigne, qui avait le caractère pacifique, quitta la place et retourna à Bruxelles, pour revoir sa famille, avec l'intention de se rendre en Italie après cette visite.
Dans toutes les histoires, après avoir parlé de Richelieu, on parle de Mazarin. Philippe de Champaigne, dans le portrait gravé par Morin, lui a donné une physionomie bien différente de celle exprimée par les autres peintres. Ce Mazarin-là, qui a la mine sévère, une grosse moustache taillée en brosse, est bien le vainqueur de la Fronde, l'homme qui ordonnait durement à la reine, son épouse, de se taire. Ici encore, le peintre a vu le fond de l'homme et l'a peut-être trop fidèlement rendu.
Quant à leurs passions, à leurs haines et à leurs affections, nous avons lieu de croire qu'elles étaient fort semblables aux nôtres. D'un bout à l'autre de l'histoire, quelque reculée qu'elle soit, nous voyons le coeur de l'homme toujours le même. On a cru trouver la preuve du contraire dans la littérature ancienne; et l'on a prétendu, par exemple, que la femme d'alors ne jouissait que de peu de considération.
Quelle erreur!
Quelle erreur!
Il y eut parmi eux, certainement, des gens de génie : les inventeurs, les artistes qui firent progresser la race. Rendons hommage à ces inconnus en étudiant les rares débris de leurs oeuvres. C'est une science pieuse que celle qui recherche dans la cendre des morts la trace de leurs pensées.
En 1630, au cours d'une grave maladie, Louis XIII fit le voeu de consacrer son royaume à la Vierge, s'il recouvrait la santé; et, en 1634, Philippe de Champaigne recevait la commande d'un tableau commémorant l'accomplissement de la promesse.
Comment on peut connaître les moeurs de créatures dont on n'a que des os et quelques produits travaillés, le grand Broca et d'autres savants éminents se chargeront de nous l'apprendre.
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On était assis autour d'un feu de bois de tilleul, en train de tailler une bavette avec Gastibelza l'homme à la carabine et sa mère la vieille Moghrabine d'Antequara. Cette dernière nous raconta l'histoire de l'orang outan échappé du zoo de Malaga en se reversant un verre de ce vin doux et liquoreux provenant des vignobles alentours de cette noble cité.
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