Dumiza continuait à fixer du regard la partie inférieure, et affriolante, du corps du Nozizwe. Il semblait enchanté par la façon dont son corps se pliait et se dépliait, comme un concertina. Totalement sous le charme, il se dit soudain que les seins bourgeonnants de Nozizwe étaient exactement comme les pommes de Keats, bientôts assez mûrs pour faire ployer les arbres. Il se sentait comme une abeille incapable de résister aux fleurs tardives de la saison.