Ses doigts tracent un chemin le long de mes vertèbres jusqu’à la peau fine de mon cou. Ils font naître des arcs électriques à l’endroit de leur passage, y compris à travers le film de mes vêtements. Mes incisives se fichent dans ma lèvre inférieure de gourmandise. Finalement, danser n’est pas si désagréable, je dirais même que c’est plutôt l’inverse. Surtout en compagnie d’un bon partenaire.