Une lueur automnale éclairait le salon désormais transformé en atelier. Durant l’été, les chansons du Grand Jacques provenant de la porte d’entrée laissée ouverte avaient attiré quelques curieux. Guidés par l’odeur du cigare, après quelques pas dans un couloir, ils découvraient alors sur leur gauche une pièce garnie de tableaux attendant un acheteur. Près de la fenêtre, avec vue sur le couloir, le peintre travaillait sur son chevalet. Peignant de sa main droite, fumant de sa main gauche.