Et pourtant…
Et pourtant de façon imperceptible
quelque chose bouge dans l’ombre simple,
les monstres se raréfient, l’imprononçable
Abîme s’estompe, on dirait que te voilà
dans l’œil du Temps, regardant le monde
Alentour qui nidifie dans la parole,
s’érige en elle en figure de l’inachevé,
l’eau descend, le ciel monte jusqu’à lui