J’ai réalisé à quel point il est salvateur de fabriquer quelque chose, de matérialiser les émotions confuses qui nous habitent. Que ce soit par l’écriture de ce journal, par un dessin, un collage, une danse… Ça paraît un peu bête, mais ce qui est à l’extérieur n’est plus à l’intérieur. Et ce qui était à l’intérieur me rongeait à petit feu.