Pour la première fois, j’ai pris conscience que j’avais le devoir moral de le dénoncer. Trop de gens passaient sous silence la maltraitance dont ils faisaient l’objet en pensant que, parce qu’ils avaient « survécu », tout était terminé. Je savais par expérience qu’un bourreau d’enfants pouvait continuer de torturer d’autres enfants et je voulais être certaine que cela n’arriverait plus jamais.