L’origine en était sans doute ce manque physique, bien légitime, que devait éprouver toute veuve lorsqu’elle n’avait plus de mari pour l’honorer. Les caresses de George manquaient affreusement à la jeune femme. Mais elle n’avait osé confier son problème à personne, consciente que la société n’autorisait pas une femme à avoir des désirs.