L’alcool ne brouille pas tout en moi, il souligne mon incohérence. Je suis comme ces papillons de nuit qui vont se frotter à l’ampoule qui va les brûler. Pour exister, il me faut sans doute prouver que je peux résister à tout et au pire, au danger que je connais et vers lequel je me précipite. Que je suis plus forte que les pièges.