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Citation de EloLML


Lorsque Doriane est partie, je n’avais aucun tatouage, j’étais svelte, pas vraiment musclé. Ce besoin d’elle était omniprésent, il me dévorait. Me défouler : voilà la seule chose qui parvenait, un tant soit peu, à me calmer. Alors je cours, soulève de la fonte, envoie valser des cordes de plus en plus lourdes. Certains jours ont été plus durs que d’autres et dans ces moments-là, j’avais besoin d’avoir mal, de sentir que, même brisé, j’étais encore et toujours en vie. La nécessité de souffrir pour ressentir. Me faire maltraiter la peau avec des aiguilles et de l’encre à répétition, voilà ma dernière alternative…
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