FAIT CHAUD. COUP DE CHALEUR.
Après le déjeuner, la Cuqui s’installe dans son salon pour écouter Los Van Van.
Dans son rocking-chair. Elle se lime les ongles. Jambes croisées. Face à la rue. Pour que les hommes qui passent puissent voir ses cuisses fermes, lisses. Couleur cannelle. Ses longues cuisses. Remonter jusqu’à la naissance de ses fesses qu’on devine rebondies.
Dans son rocking-chair, la Cuqui se coupe les ongles, se lime les ongles, se vernit les ongles. Face à la rue, jambes croisées, superbes cuissots offerts aux regards obliques des passants. En écoutant Los Van Van. "Sandunguera" !
L’après-midi, climax, la Cuqui n’en peut plus, elle danse sur Los Van Van. Seule, pour commencer.
Dans son salon. Volutes de son cul prodigieux au rythme de la musique. Le cul de la Cuqui, une moitié dans le lycra, l’autre à la vue de celui qui passe et l’observe se déhancher : en haut, en bas, d’un côté, de l’autre. "Sandunguera" !
Au rythme de la conga, du son, du changüí. "Sandunguera" !
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