J'ai toujours pensé que Sartre, ce brillant esprit, auteur de prodigieux "romans philosophiques" comme L'Etre et le néant et la Critique de la raison dialectique, n'avait jamais rien compris ni à Hegel, ni à Marx, ni bien entendu à Freud. Je voyais en lui, au mieux, un de ces "philosophes de l'histoire" postcartésiens et posthégéliens que Marx avait en horreur.