Sébastien se met à pleurer ces larmes qui n’ont jusqu’alors pas su se frayer un chemin entre les éclats de fureur qui faisaient écho en lui. Il pleurniche bruyamment tel un enfant, sans égard à son titre, à son apparence ; sans égard à cette caméra qui se délecte sans doute de sa misère.
À quoi bon vivre, désormais ? À quoi bon chercher à survivre ?
Secrètement, Sébastien prie pour qu’une mort rapide l’emmène.