Les historiens ont été frappés par le contraste entre l'indigence de ce florilège de conseils lénifiants, que le cardinal lui avait d'ailleurs répétés au long de son éducation politique, et la profondeur des réflexions sur le pouvoir royal et l'art de gouverner que l'on trouve dans les Mémoires de Louis XIV, dont la rédaction commence moins de quatre ans plus tard.