À Paris, [Van Gogh] commence à collectionner les estampes japonaises à un rythme soutenu dans l’intention de les revendre avec bénéfice. Conscient depuis longtemps de l'intérêt des gravures pour les artistes, il tombe lui-même sous le charme de ces représentations colorées, qul ouvrent une nouvelle direction à son art. C'est le début d'un « reve Japonais » qui s'épanouira pleinement en Arles, son substitut provençal du Japon.