Vous volez en ce moment, Alessandro. Vous défiez la mer, hérissée au bout de ses pointes, elle tempête, elle menace, mais vous ne vous laisserez pas engloutir. Vous arriverez jusqu’à moi avec votre nudité. Je vous réchaufferai, je vous caresserai, je vous recouvrirai avec la lenteur de mon corps. L’amour. (p. 52)”