Il y a les moments happy : c’est l’histoire d’une fécondation in vitro qui fonctionne, ou d’une transplantation cardiaque réussie, ou d’un accouchement…
Mais rien n’est alors fini. Bien au contraire.
Il y a les moments end : c’est la perte d’un organe ou d’une fonction ; c’est la mort subite, ou la mort consécutive à une maladie ; c’est la mort programmée… Il n’y a pas de place, ici, pour le happy. Il y a du soulagement, tout au plus.