Depuis qu’il est parti, je ne vis plus, je ne respire plus, je me sens si seule que j’en suis oppressée et que cela me réveille la nuit, comme un grand creux dans mon ventre. Il me semble que mon corps est en déficience de force, de sang, d’énergie, que ma tête est vide, lourde de chagrin, et que mon cœur a congelé pour ne pas se briser totalement.