Je n'ai à juger personne. Ni la femme infidèle ni le mari justicier. Je ne veux connaître que mon père et ma mère victimes de leur désunion. Je n'éprouve que compassion pour eux : ma mère parce qu'elle a durement expié, mon père parce qu'il l'aimait trop pour l'indifférence, pas assez pour le pardon. (p. 109)