Après le drame, je restai encore trois jours à Pavlos... Indifférente à ce qui s'y passait... Puis je quittai le village sans me retourner... refusant de jeter un dernier regard à ces pierres et à ces collines qui m'avaient réservé le plus grand bonheur que puisse vivre une femme... et le pire malheur qu'elle puisse endurer...