Un crépuscule grisâtre s’est posé un jour d’automne, comme un voile se déposant sournoisement sur les regards angoissés, et plus rien n’a été pareil. Il y a encore de beaux décors, mais le brouillard les dissimule. Les couleurs sont mortes ; il n’y a pas que les plantes qui s’étiolent quand ils n’y a pas de lumière.