Je me dissimule derrière un bosquet, touchant du bois – le tronc – pour qu’une voiture ne passe pas à ce moment-là, décélérant pour examiner cette mystérieuse tache fluo planquée derrière un massif, la lune à l’air. Cette expérience est fort enrichissante, et j’en tire une conclusion que je ne suis pas près d’oublier : quand on veut… comment dire… quand on veut libérer ses intestins, mieux vaut choisir un arbuste feuillu plutôt qu’un conifère, ça irrite moins le sillon fessier.