Car si l'opium paralyse le corps, s'il supprime les désirs vulgaires, il donne à la pensée l'acuité suprême. La pensée, comme un jeu, comme une guerre, comme une férocité froide, comme la dernière luxure, comme le siège de la puissance. Il n'y a plus de sentiments, plus de bien ni de mal. Rien que l'intelligence, que la capacité des raisonnements qui procurent encore plus le pouvoir et l'argent.