Ces confidences suggèrent une autre lecture de François Mauriac, chez qui tout était contraste. Il prit parti pour les prêtres ouvriers, pour les travailleurs basques, il s'indignait des injustices commises dans les pays lointains qu'il n'avait pas visités, mais le prolétariat misérable qui aurait pu lui être familier, il ne le connaissait pas.
(préface de José Cabanis).